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👑 Le royalisme : une espérance d’ordre, de paix et de vérité

  • Photo du rédacteur: madamedefrances
    madamedefrances
  • 22 juin
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 26 sept.

Face à la république : instabilité, mensonge et désacralisation


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1. Une légitimité d’en-haut, contre un pouvoir issu du chaos


La monarchie française, fondée par le baptême de Clovis et consacrée à Reims, repose sur une légitimité divine. Le roi n’est pas un simple élu du peuple : il est lieutenant de Dieu sur terre, choisi non pour plaire, mais pour servir.

« Tout pouvoir vient de Dieu » (Romains 13,1)

La république, au contraire, naît dans le sang et la révolte. Son autorité changeante dépend d’élections, de sondages, d’alliances de partis et d’ambitions personnelles. Elle tire son droit du nombre, non de la vérité, et se fonde sur une souveraineté purement humaine, souvent capricieuse.



2. Stabilité dynastique contre instabilité électorale


La monarchie offre une continuité. Le roi ne gouverne pas pour lui-même, mais pour transmettre un royaume meilleur à ses enfants et à son peuple. La dynastie oblige à penser à long terme, à agir dans la durée, au service du bien commun.

À l’inverse, la république vit dans le court terme : cinq ans de mandat, des réformes détricotées tous les deux ans, une opposition constante, des promesses non tenues. Chaque élection est une guerre, chaque président un produit marketing.



3. Le roi : serviteur du royaume, non chef de parti


Le roi règne pour tous, au-dessus des partis. Il n’a rien à vendre, rien à prouver, rien à gagner, sinon la fidélité à sa mission.

Le président, lui, est l’élu d’une moitié contre l’autre, un homme de clan, prisonnier de son camp et de ses promesses de campagne. Il divise par nature, là où le roi peut rassembler.



4. Une monarchie enracinée dans la foi et la morale


Le roi de France est oint d’une huile venue du ciel, sacré dans une cathédrale, guidé par la foi chrétienne et les lois fondamentales du royaume.

La république, au nom d’une laïcité idéologique, a chassé Dieu du débat public, détruit la morale naturelle, banalisé l’avortement, l’euthanasie, la marchandisation de l’humain. Elle prétend neutralité, mais impose une nouvelle religion : celle du relativisme.



5. Une vision du bien commun, non de la majorité momentanée


Le roi, en tant que père de la nation, veille à l’équilibre du peuple, du clergé et de la noblesse, selon une vision organique et hiérarchique de la société.

La république gouverne au gré des revendications, sans ordre ni harmonie. Elle favorise le communautarisme, l’individualisme, la consommation, et abandonne les plus fragiles à la loi du plus fort.



6. Une France sacrée, pas une simple administration


Sous la monarchie, la France est plus qu’un État : elle est une nation chrétienne, une terre de mission, une fille bénie de l’Église, dont le roi est le gardien.

Sous la république, la France n’est qu’un territoire administratif, une construction artificielle, où l’on oublie l’histoire, efface les racines, et moque les traditions.



⚜️ Conclusion : Le roi incarne la France éternelle

Loin des mensonges républicains, le royalisme ne propose pas un retour au passé, mais un retour à l’ordre naturel et sacré, là où la loi, la foi et le roi s’unissent au service du bien commun.

Le roi ne promet pas le bonheur illusoire, mais la justice, la fidélité, et la paix intérieure.

Le président gouverne un mandat. Le roi veille sur une mission. Le premier cherche l’élection.Le second reçoit une vocation.

 
 
 

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