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🩸 Le génocide vendéen : quand la République sacrifia la France chrétienne

  • Photo du rédacteur: madamedefrances
    madamedefrances
  • 22 juin
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 26 sept.

📜 Une loi pour faire mémoire : proposition n°646

En 2018, la députée Marie-France Lorho a déposé une proposition de loi n°646 pour que la France reconnaisse officiellement les crimes commis en Vendée entre 1793 et 1796 comme un génocide.


Elle se compose de trois articles simples mais puissants :


✅ Article 1

La République reconnaît le génocide vendéen de 1793 à 1796.

✅ Article 2

Les lois et décrets qui ont permis l’extermination des populations vendéennes sont abrogés symboliquement.

✅ Article 3

La mémoire de ces victimes doit être honorée dans l’espace public.


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⚖️ Pourquoi parler de "génocide" ?


Le terme "génocide" a été défini après la Seconde Guerre mondiale, en 1948, dans la Convention de l’ONU pour la prévention et la répression du crime de génocide. Il suppose :


  • Une intention délibérée d’exterminer, en tout ou en partie, un groupe humain déterminé ;

  • Pour des raisons ethniques, religieuses, politiques ou culturelles ;

  • Par des actes physiques d’extermination (meurtres, tortures, déportations, famines provoquées, etc).


Or, tous ces critères sont réunis dans le cas vendéen, comme le démontre l’analyse historique mais aussi juridique de nombreux chercheurs (Reynald Secher, Alain Gérard, Jacques Villemain, etc.).



📌 Les preuves d’un génocide d’État


1. Des textes de loi explicites et exterminateurs

Les décrets de la Convention (notamment ceux du 1er août, du 1er octobre, et les ordres de Turreau pour les colonnes infernales) proclament littéralement l’objectif suivant :

« Exterminer tous les brigands de la Vendée. »« Faire du territoire insurgé un désert. »« Ne rien laisser derrière nous qu’un souvenir de vengeance républicaine. »

Cela signifie l’anéantissement non pas seulement de combattants, mais de toute une population, femmes, enfants, vieillards compris. C’est une volonté d’extermination totale.



2. Des actes inhumains à grande échelle


  • Villages entiers brûlés, habitants enfermés et brûlés vifs.

  • Femmes enceintes éventrées, enfants empalés.

  • Noyades de Nantes : jusqu’à 5 000 victimes, hommes, femmes, religieux et enfants, jetés vivants dans la Loire.

  • Témoignages de fabrication de savon avec la graisse humaine, tanneries de peau à Meudon.


Ces actes ne peuvent être réduits à des "excès de guerre" : ils résultent d’un programme organisé par l’État révolutionnaire, dans un but de terreur et de nettoyage humain.



3. Une haine idéologique contre la population catholique


Les Vendéens sont visés non seulement pour leur insoumission politique, mais parce qu’ils sont royalistes, catholiques, attachés à leur foi et à leurs prêtres. L’objectif est de déraciner une culture, effacer un peuple, tuer une mémoire vivante.

C’est ce que la proposition de loi n°646 appelle un mémoricide, c’est-à-dire la volonté d’anéantir un peuple dans sa chair et dans sa mémoire collective.


🕯️ Pourquoi cette reconnaissance est nécessaire


Reconnaître le génocide vendéen ne signifie pas juger le peuple français, mais regarder notre histoire avec justice. La Révolution ne fut pas seulement une période d’idéaux et de libertés : elle fut aussi, pour des milliers d’innocents, un cataclysme de sang et une persécution contre une France chrétienne.

La Vendée ne demande pas vengeance. Elle demande vérité, honneur et reconnaissance.



✝️ En conclusion


« La République a fait de la Vendée une terre de martyrs.Il est temps de lui rendre justice. »

Tant que la France n’aura pas reconnu cette blessure ouverte, elle ne pourra pas guérir.

 
 
 

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